Une analyse du bilan fourrager (Tab.08 ; Fig.06) a permis de montrer la persistance d’un déficit fourrager estimé à 22 %, Cette situation découle, de ce que la production et la culture des fourrages en Algérie reste à bien des égards, une activité marginale des exploitations agricoles (Adem, 2002).
En termes d’offre, l’Algérie disposait en 2007 de 8 milliards d’UF alors que, les besoins annuels du cheptel sont estimés à environ 10,5 milliards d’UF, d’où un taux de couverture se situant à environ 76,19 % (M.A.D.R, 2007).
Tableau 08. Bilan fourrager 2006/2007
Besoin du cheptel en milliard d’UF |
Disponibilités total (en milliard d’UF) | Bilan |
Taux de couverture |
|||
zones céréalières |
parcours steppiques |
chaumes et pailles |
Total | |||
10,5 | 4,16 | 3,28 | 0,56 | 8 | -2,5 | 78% |
Source : (M.A.D.R, 2007)
Source : (M.A.D.R, 2007)
Source : (M.A.D.R, 2007)
Source : (M.A.D.R, 2007)
Source:
GAAD, Djouher 2010 , Contribution à l’etude morphologique et phénologique de 29 populations Algériennes de Sulla coronaria L. Medik. (Syn. Hedysarum coronarium L.)
Pingback: Contraintes de développement des fourrages en Algérie - agronomie